Je pensais a cette histoire de bien choisir sa distribution{.ref-post} et je pensais a d’autres règles de bonne conduite:

  • Te compliquer la vie, tu éviteras.
  • A la pérennité, tu penseras.
  • Des forks, tu éviteras.
  • Celle de ton formateur, tu prendras.
  • La communauté, tu regarderas.
  • A ses outils, tu t’adaptera.

Si je développe un peu, “Te compliquer la vie, tu éviteras.”, je pense surtout a des distribution qui sont assez technique pour gagner pas grand chose, je me prends plus la tete avec des distributions pour “pros”. “A la pérennité, tu penseras.”, faut y penser mais les distributions qui changent fréquemment et qui ne laissent pas beaucoup de temps pour passer a la nouvelle version, sont a éviter. C’est marrant un temps de monter de version mais ça fatigue. “Des forks, tu éviteras.”, la c’est pour les distributions qui ne servent a rien a part faire plaisir a l’ego surdimensionner de leurs créateurs… Comme les nombreuses ubuntu-likes. Sinon des forks qui apportent pas grand chose sauf disperser la mains d’oeuvre… “Celle de ton formateur, tu prendras.”, vaut mieux prendre la distribution du copain qui nous montre linux ou de son GUL régionale. “La communauté, tu regarderas.”, oui c’est un point important quand on commence, la communauté est le premier point qui nous permettra de continuer l’aventure si on a des soucis. Être dans une communauté qui ne répond que par des RTFM, c’est pas forcément le top pour y être bien. “A ses outils, tu t’adaptera.”, si la distribution possède des outils, autant les utiliser. Donc je continu mon petit chemin et je conseille toujours les même distributions, a base de “deb”, Handylinux ou sa future remplaçante du nom (provisoire) de DFLinux pour commencer en douceur, Ubuntu pour commencer elle aussi ou simplement ne pas se prendre la tête et Debian pour tous.